En France, la légalisation du cannabis pour tous tarde à se légiférer. Lorsqu’il est consommé pour des raisons thérapeutiques, il se fait prescrire par le médecin. Il ne suffit pas d’avoir la plante dans un sachet. Il ne se mâche pas, mais se fume. Pour ce faire, des accessoires sont profitables pour bien le consommer. Petit tour d’horizon.
Les accessoires usuels pour le cannabis
Il y a d’abord le plateau à bord incurvé, sur lequel les feuilles ou la résine et le tabac se déposent. Il est conçu pour être transporté facilement. Ensuite, les feuilles à rouler nécessitent un grammage des plus léger, pour fumer le moins de papier possible. Il en existe en gomme 100 % naturelle, certifiée bio. Enfin, une balance de précision digitale, de 0,1 à 500 grammes, permet de mesurer la quantité exacte, pour plus d’efficacité. Pour finir, le pochon en plastique et zippé sert à la conservation optimale et évite que d’autres odeurs ne s’introduisent.
Les accessoires secondaires
Différentes sortes de pipes, en aluminium, en silicone, en verre ou à eau, s’adaptent à tous types d’herbes ou de résines. Elles se démontent pour faciliter l’entretien. Le grinder en métal ou en acrylique, est un moulin à herbe qui effrite la matière. Certains sont équipés d’un récupérateur de pollen.
Une nouvelle avancée pour le cannabis
Le 25 octobre dernier, l’Assemblée nationale a voté un amendement pour l’expérimentation thérapeutique du cannabis. Dès 2020 et pendant deux ans, son usage curatif sera expérimenté. Cette décision est un espoir pour les patients souffrant de pathologies invalidantes, dont seul ce produit agit sur les douleurs. 3,9 millions de Français en consomment, dont 1,2 million de façon régulière. Ils sont les premiers consommateurs en Europe. Ce produit apaisant est le plus consommé, parmi toutes les substances illicites. Même si scientifiquement, il reste encore à prouver son action, les témoignages des concernés le démontrent déjà.
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